Mon incroyable voyage autour des Pyramides de Gizeh
P On revient sur l'une de nos dernières journées passées en Égypte, une visite un peu marathon du Caire, l'une des villes les plus peuplées au monde. Avec plus de 15 millions d'habitants, le Caire est un fourmillement perpétuel où chacun vaque à ses occupations, où les voitures roulent un peu n'importe comment et où tu découvres la seule merveille du monde encore existante… la grande pyramide de Kheops à Gizeh.
Top 3 des choses à voir :
- Les pyramides
- Le sphynx
- Le tombeau de Ramses II
9h : Visite des pyramides
Après une bien jolie semaine à naviguer sur le Nil, à découvrir les impressionnants sites de l'Egypte ancienne, nous nous sommes rendus au Caire, ville hallucinante, immense voire même un peu crevante...
En arrivant dans la capitale égyptienne, nous avons été rejoints par notre guide, George, un mec super sympa et particulièrement connaisseur de l'histoire de son pays. On s'est donc mis en route pour aller visiter le célèbre musée du Caire, un vrai paradis pour tous les amoureux d'Egypte antique. Mais pour y arriver, il a fallut prendre la voiture. Et c'est là que les choses se sont compliquées...
Face avant de la pyramide
La conduite des égyptiens est complètement hallucinante. Nous avions notre guide ainsi qu'un chauffeur pour nous embarquer dans le truc. D'après George, les égyptiens ont le même code de la route que nous (ce qui ne va pas de soi quand tu les vois faire), mais tout simplement pas la même façon de l'appliquer !
Couloir d'entrée de la pyramide
Pour aller un peu plus loin, on peut même dire qu'ils ne l'appliquent pas du tout. Alors sincèrement, on s'est accroché à tout ce qu'on pouvait dans la voiture. Et on a quelque fois détourné la tête. Pourtant, c'est pas faute d'avoir pris des bus dans des pays où les conducteurs ont tendance à se prendre pour des fangios. Jusqu'à ce jour, la médaille était détenue par le Mexique (lire notre article sur les bus mexicains), mais cette fois-ci on dépasse un peu toutes les limites du concevable. Les bagnoles et autre petits bus collectifs zigzaguent dans tous les sens. De 3 voies de circulation, ils t'en font 5. Les limitations de vitesse, ca sera pour plus tard, ce qui permet de rouler à 100 km/h sur des routes pleines de virages. Et au milieu de ce joyeux foutoir, des centaines de piétons traversent où bon leur semblent, à tout moment. Et évidemment, le tableau ne serait pas complet sans évoquer que tout ce bordel est accompagné d'un concert de klaxons, certains probablement pour dire bonjour, d'autre "casse toi de là" ou encore d'autres noms d'oiseaux.
Tunnel de sortie Ramsès II
Pour aller un peu plus loin, on peut même dire qu'ils ne l'appliquent pas du tout. Alors sincèrement, on s'est accroché à tout ce qu'on pouvait dans la voiture. Et on a quelque fois détourné la tête. Pourtant, c'est pas faute d'avoir pris des bus dans des pays où les conducteurs ont tendance à se prendre pour des fangios. Jusqu'à ce jour, la médaille était détenue par le Mexique (lire notre article sur les bus mexicains), mais cette fois-ci on dépasse un peu toutes les limites du concevable. Les bagnoles et autre petits bus collectifs zigzaguent dans tous les sens. De 3 voies de circulation, ils t'en font 5. Les limitations de vitesse, ca sera pour plus tard, ce qui permet de rouler à 100 km/h sur des routes pleines de virages. Et au milieu de ce joyeux foutoir, des centaines de piétons traversent où bon leur semblent, à tout moment. Et évidemment, le tableau ne serait pas complet sans évoquer que tout ce bordel est accompagné d'un concert de klaxons, certains probablement pour dire bonjour, d'autre "casse toi de là" ou encore d'autres noms d'oiseaux.
12h30 : Pause déjeuner au milieu du désert
La conduite des égyptiens est complètement hallucinante. Nous avions notre guide ainsi qu'un chauffeur pour nous embarquer dans le truc. D'après George, les égyptiens ont le même code de la route que nous (ce qui ne va pas de soi quand tu les vois faire), mais tout simplement pas la même façon de l'appliquer !
14h30 : Visite du Sphynx
Pour aller un peu plus loin, on peut même dire qu'ils ne l'appliquent pas du tout. Alors sincèrement, on s'est accroché à tout ce qu'on pouvait dans la voiture. Et on a quelque fois détourné la tête. Pourtant, c'est pas faute d'avoir pris des bus dans des pays où les conducteurs ont tendance à se prendre pour des fangios. Jusqu'à ce jour, la médaille était détenue par le Mexique (lire notre article sur les bus mexicains), mais cette fois-ci on dépasse un peu toutes les limites du concevable. Les bagnoles et autre petits bus collectifs zigzaguent dans tous les sens. De 3 voies de circulation, ils t'en font 5. Les limitations de vitesse, ca sera pour plus tard, ce qui permet de rouler à 100 km/h sur des routes pleines de virages. Et au milieu de ce joyeux foutoir, des centaines de piétons traversent où bon leur semblent, à tout moment. Et évidemment, le tableau ne serait pas complet sans évoquer que tout ce bordel est accompagné d'un concert de klaxons, certains probablement pour dire bonjour, d'autre "casse toi de là" ou encore d'autres noms d'oiseaux.

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